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partie 3: Les ASPECTs INNOVANTs DE la machine neuroad
La machine neuroAD est une grande première dans le domaine de la recherche de traitements contre la maladie d'Alzheimer, puisqu'elle combine deux types de stimulation. Certes, cette machine ne permet nullement de guérir entièrement le patient et de lui assurer une vie tout à fait normale, tout comme un individu sain. Cependant, cette technique nouvelle apporte des résultats encourageants, qui soulagent indéniablement le quotidien du patient, ainsi que celui de ses proches.
1- LES RÉSULTATS PROMETTEURS DE LA MACHINE
La machine neuroAD est une innovation moderne dans le domaine médicale. Ainsi, en raison de la mise en place récente de cette technique en France, peu de résultats concernant les patients ayant eu recours à la machine ont été communiqués. Si les données officielles de l’étude française sont attendues pour 2016, certaines observations et des résultats ont d’ores et déjà été publiés par d’autres pays ayant installé la machine dans certaines cliniques spécialisées depuis plusieurs années, comme les Etats-Unis, ou Israël.
a. Améliorations sur le plan cognitif et dans la vie quotidienne :
Les médecins constatent qu’au bout de trois semaines de traitement avec la machine neuroAD, avec des séances quotidiennes d’une heure, le patient ressent des améliorations sur le plan cognitif, ainsi que dans la réalisation de tâches simples du quotidien.
Ces améliorations sont à la fois diverses et propres à chaque patient. Au fur et à mesure des 6 semaines de traitement, ces améliorations augmentent considérablement, et sont facilement repérable par l'entourage du malade. Pour l’instant, grâce aux études déjà réalisées avec la machine neuroAD, on constate chez des patients des changements positifs sur le plan cognitif qui durent environ un an. Ainsi, la mémoire des patients se stabilise, et paraît même retrouver une certaine "agilité".
Depuis la mise en place de cette machine en France en Novembre 2014, le professeur Gilles Kemoun, professeur de médecine physique et de réadaptation, affirme que : "Jusqu’ici, les résultats ont montré une nette amélioration des tests cognitifs, une meilleure capacité dans les activités de la vie quotidienne".
De plus, des membres de l'entourage de nombreux patients suivant ce nouveau traitement ont confirmé ces résultats. Ainsi, en Grande Bretagne, un proche d'un patient atteint de la maladie d'Alzheimer certifie: "10 mois après qu’elle ait fini son traitement, je dois vous dire qu’elle va encore bien. Elle est beaucoup plus calme, et même si sa mémoire à court-terme n’est toujours pas bonne, elle est toutefois mieux qu’avant le début du traitement".
En Israël, deux personnes déclarent qu’ils ont remarqué "une nette amélioration dans l’humeur de leur maman, ainsi que dans sa capacité à dialoguer avec des amis et de la famille".
Esther, 71 ans, est un patiente mexicaine atteinte de la maladie d'Alzheimer qui a déménagé en Israël pour suivre ce traitement. Elle reconnaît "se sentir mieux qu’avant" et explique qu’elle peut désormais parler à des personnes en les reconnaissant.
Enfin, le professeur Martin Rabey affirme que les résultats sont ressentis par le patient pendant neuf à douze mois et que l’utilisation de cette machine permettait de revenir un à deux ans en arrière dans le développement de la maladie.
Tous ces résultats et témoignages sont tirés à partir des premières études menées depuis la mise en place de la machine en 2012 en Israël.
a. Améliorations sur le plan cognitif et dans la vie quotidienne :
Les médecins constatent qu’au bout de trois semaines de traitement avec la machine neuroAD, avec des séances quotidiennes d’une heure, le patient ressent des améliorations sur le plan cognitif, ainsi que dans la réalisation de tâches simples du quotidien.
Ces améliorations sont à la fois diverses et propres à chaque patient. Au fur et à mesure des 6 semaines de traitement, ces améliorations augmentent considérablement, et sont facilement repérable par l'entourage du malade. Pour l’instant, grâce aux études déjà réalisées avec la machine neuroAD, on constate chez des patients des changements positifs sur le plan cognitif qui durent environ un an. Ainsi, la mémoire des patients se stabilise, et paraît même retrouver une certaine "agilité".
Depuis la mise en place de cette machine en France en Novembre 2014, le professeur Gilles Kemoun, professeur de médecine physique et de réadaptation, affirme que : "Jusqu’ici, les résultats ont montré une nette amélioration des tests cognitifs, une meilleure capacité dans les activités de la vie quotidienne".
De plus, des membres de l'entourage de nombreux patients suivant ce nouveau traitement ont confirmé ces résultats. Ainsi, en Grande Bretagne, un proche d'un patient atteint de la maladie d'Alzheimer certifie: "10 mois après qu’elle ait fini son traitement, je dois vous dire qu’elle va encore bien. Elle est beaucoup plus calme, et même si sa mémoire à court-terme n’est toujours pas bonne, elle est toutefois mieux qu’avant le début du traitement".
En Israël, deux personnes déclarent qu’ils ont remarqué "une nette amélioration dans l’humeur de leur maman, ainsi que dans sa capacité à dialoguer avec des amis et de la famille".
Esther, 71 ans, est un patiente mexicaine atteinte de la maladie d'Alzheimer qui a déménagé en Israël pour suivre ce traitement. Elle reconnaît "se sentir mieux qu’avant" et explique qu’elle peut désormais parler à des personnes en les reconnaissant.
Enfin, le professeur Martin Rabey affirme que les résultats sont ressentis par le patient pendant neuf à douze mois et que l’utilisation de cette machine permettait de revenir un à deux ans en arrière dans le développement de la maladie.
Tous ces résultats et témoignages sont tirés à partir des premières études menées depuis la mise en place de la machine en 2012 en Israël.
b. Des résultats supérieurs à ceux des traitements médicamenteux :
La plupart des médicaments palliatifs mis en vente sur le marché ont des résultas qui sont observables à très court terme. Au contraire, après un traitement avec la machine neuroAD, les médecins observent des effets positifs jusqu'à un an après la fin du traitement.
A travers ce graphique, on observe une augmentation positive des résultats du test ADAS-cog (Alzheimer’s Disease Assesment scale-cognitive) pendant les 6 premières semaines de traitement intensif avec la machine neuroAD. Ce test est très fréquemment utilisé dans le diagnostic de la maladie d'Alzheimer, et permet également de situer l'évolution de la maladie parmi les trois stades.
A partir de la fin du traitement, les capacités cognitives déclinent très lentement pendant les treize mois suivant le début du traitement et les résultats du test ADAS atteignent un stade 2 au bout d’un an.
Ces résultats sont considérablement efficaces par rapport aux autres traitements en vente sur le marché. En effet, avec un traitement médicamenteux, des entraînements cognitifs ou en prenant du Placebo, on observe également une augmentation de ces résultats pendant 6 semaines. Ces résultats restent toutefois considérablement moins élevés qu’avec la machine neuroAD.
S'en suis un déclin important des fonctions cognitives pour atteindre un seuil de 0 à -2 au bout d’un an avec ces traitements.
L’utilisation de traitement avec la machine neuroAD reste très largement supérieur vis-à-vis de l'évolution de la maladie sans traitement, puisqu'un patient ne prenant aucun type de traitement voit ses fonctions cognitives baisser sans interruption, jusqu'à atteindre un seuil de -6 au bout d’un an.
La plupart des médicaments palliatifs mis en vente sur le marché ont des résultas qui sont observables à très court terme. Au contraire, après un traitement avec la machine neuroAD, les médecins observent des effets positifs jusqu'à un an après la fin du traitement.
A travers ce graphique, on observe une augmentation positive des résultats du test ADAS-cog (Alzheimer’s Disease Assesment scale-cognitive) pendant les 6 premières semaines de traitement intensif avec la machine neuroAD. Ce test est très fréquemment utilisé dans le diagnostic de la maladie d'Alzheimer, et permet également de situer l'évolution de la maladie parmi les trois stades.
A partir de la fin du traitement, les capacités cognitives déclinent très lentement pendant les treize mois suivant le début du traitement et les résultats du test ADAS atteignent un stade 2 au bout d’un an.
Ces résultats sont considérablement efficaces par rapport aux autres traitements en vente sur le marché. En effet, avec un traitement médicamenteux, des entraînements cognitifs ou en prenant du Placebo, on observe également une augmentation de ces résultats pendant 6 semaines. Ces résultats restent toutefois considérablement moins élevés qu’avec la machine neuroAD.
S'en suis un déclin important des fonctions cognitives pour atteindre un seuil de 0 à -2 au bout d’un an avec ces traitements.
L’utilisation de traitement avec la machine neuroAD reste très largement supérieur vis-à-vis de l'évolution de la maladie sans traitement, puisqu'un patient ne prenant aucun type de traitement voit ses fonctions cognitives baisser sans interruption, jusqu'à atteindre un seuil de -6 au bout d’un an.
c. Un traitement sans effets secondaires :
Ainsi, comme on peut le constater à l'aide de ce tableau récapitulatif, la machine neuroAD est, à ce jour, le seul traitement contre la maladie d'Alzheimer qui n'a pas d'effets secondaires.
2- Le devenir du traitement
a. Les aspects négatifs du traitement :
Malgré ses nombreux côtés positifs, il existe quelques éléments négatifs concernant ce traitement.
Il faut en effet prendre en compte le fait que le patient doive se rendre cinq fois par jour à l'hôpital pour des séances de quarante minutes, et ce, pendant six semaines complètes. Il peut donc se présenter un problème avec l’accessibilité de la machine neuroAD, les patients étant des personnes âgées qui ne peuvent pas, dans la plupart des cas, conduire et se rendre aussi régulièrement à l'hôpital.
De plus, les séances peuvent s'avérer fatigantes pour les patients puisqu'on leur demande un effort de concentration relativement long, qui doit être répété cinq fois par semaine.
Malgré ses nombreux côtés positifs, il existe quelques éléments négatifs concernant ce traitement.
Il faut en effet prendre en compte le fait que le patient doive se rendre cinq fois par jour à l'hôpital pour des séances de quarante minutes, et ce, pendant six semaines complètes. Il peut donc se présenter un problème avec l’accessibilité de la machine neuroAD, les patients étant des personnes âgées qui ne peuvent pas, dans la plupart des cas, conduire et se rendre aussi régulièrement à l'hôpital.
De plus, les séances peuvent s'avérer fatigantes pour les patients puisqu'on leur demande un effort de concentration relativement long, qui doit être répété cinq fois par semaine.
b. Faut-il envisager un autre type de stimulation ?
A terme, après plusieurs séances de traitement avec la rTMS (aussi bien dans le traitement de la dépression que pour d'autres pathologies neurologiques), les médecins ont mis en évidence un déclin des effets favorables sur le patient.
En raison de la mise en place récente de la machine, les médecins ne savent pas s'il en sera de même lors du traitement de la maladie d'Alzheimer, ce qui représente tout l'enjeu du projet.
Certains médecins nantais semblent mettre en avant la supériorité de la stimulation corticale vis-à-vis de la stimulation magnétique transcrânienne.
La stimulation corticale est une opération chirurgicale, guidée par des images transmises en direct du cerveau. Ces images sont obtenues par la pose d'une sonde dans certaines zones du cerveau. Cette opération a pour but de soulager la douleur du patient en travaillant directement sur la zone du cerveau concernée par la douleur, aussi appelée le cortex moteur cible.
Toutefois, la stimulation corticale est encore peu utilisée car c’est un domaine qui est nouveau et encore peu exploré. Sa supériorité sur la rTMS n'a donc en aucun cas été démontrée.